MEMENTO MORI! !IROM OTNEMEM - Els Dietvorst, Dirk Roofthooft & Aurelie Di Marino
21 févr. 2019 - 23 févr. 2019
Dans MEMENTO MORI!, la documentariste et plasticienne Els Dietvorst réunit deux textes. Le premier est interprété par Dirk Roofthooft, l’un des acteurs flamands les plus iconiques, le second, par la jeune actrice bruxelloise Aurelie Di Marino. Attendez-vous à une soirée sur la vulnérabilité et la fugacité, mais aussi sur des thèmes universels comme l’individualisation, la mondialisation, la relation entre l’homme et la nature et la migration.
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Après une série de rencontres avec le sans-abri bruxellois « AMC », Els Dietvorst a écrit il y a trois ans le monologue Ik ga naar mijn kippen [Je vais retrouver mes poules]. Le texte est une suite de la trilogie documentaire autour de la vie du vagabond-philosophe et son combat pour mener une existence digne. Lorsque Dietvorst a travaillé deux ans plus tard à ses sculptures Skull pour la Biennale de Moscou, son frère était mourant. Cette expérience l’a amenée à écrire un nouveau monologue : Drijfhout [bois flotté].
Dans MEMENTO MORI!, Dietvorst réunit les deux textes. Le premier est interprété par Dirk Roofthooft, l’un des acteurs flamands les plus iconiques, le second, par la jeune actrice bruxelloise Aurelie Di Marino. Attendez-vous à une soirée sur la vulnérabilité et la fugacité, mais aussi sur des thèmes universels comme l’individualisation, la mondialisation, la relation entre l’homme et la nature et la migration.
• La documentariste et plasticienne Els Dietvorst était au programme de plusieurs éditions du festival Burning Ice. La saison passée, elle a présenté la première de son nouveau film I watched the white dogs of the dawn, le deuxième volet de sa trilogie sur la relation entre l’homme et la nature et notre chaîne alimentaire.
Dans MEMENTO MORI!, Dietvorst réunit les deux textes. Le premier est interprété par Dirk Roofthooft, l’un des acteurs flamands les plus iconiques, le second, par la jeune actrice bruxelloise Aurelie Di Marino. Attendez-vous à une soirée sur la vulnérabilité et la fugacité, mais aussi sur des thèmes universels comme l’individualisation, la mondialisation, la relation entre l’homme et la nature et la migration.
• La documentariste et plasticienne Els Dietvorst était au programme de plusieurs éditions du festival Burning Ice. La saison passée, elle a présenté la première de son nouveau film I watched the white dogs of the dawn, le deuxième volet de sa trilogie sur la relation entre l’homme et la nature et notre chaîne alimentaire.
