Strach — A Fear Song
07 avr. 2020 - 12 avr. 2020
Se réapproprier la rue. Réinvestir le cœur de la ville pour qu’à nouveau, à ciel ouvert, il batte. Voilà ce que proposent La montagne magique, Les Riches-Claires, le Théâtre des Martyrs et le Théâtre National Wallonie-Bruxelles. Ensemble, ils plantent un chapiteau sur la place publique pour accueillir, le temps de six représentations, le spectacle de Patrick Masset, Strach – a fear song.
Affronter sa peur, la regarder dans les yeux, la sublimer même. Voilà à quoi nous invite Patrick Masset, accompagné de trois acrobates, une chanteuse lyrique et un pianiste. Son travail sur cette peur primitive, profondément ancrée en chacun de nous est le point de départ d’un rapprochement entre musique et cirque.
Toutes les peurs que nous éprouvons, celle de la perte, de la mort, de l’échec, ou de la vie elle-même, sont auscultées dans une proposition qui joue sur la symbolique et le défi gravitationnel. Les porteurs soutiennent et élèvent la voltigeuse et la chanteuse, tandis que cette dernière reprend notamment Leonard Cohen ou Henry Purcell. Il s’agit bien de littéralement « porter la voix », se faire entendre. À travers ces enchaînements proches de la danse, Patrick Masset cherche l’authenticité du langage du corps, sans l’aide des mots, ni du jeu théâtral. Il en extrait une sincérité qui suscite l’émotion auprès de tous les publics. Une incitation à aborder la vie avec confiance comme un message politique délivré avec exigence et intensité.
Se réapproprier la rue. Réinvestir le cœur de la ville pour qu’à nouveau, à ciel ouvert, il batte. Voilà ce que proposent La montagne magique, Les Riches-Claires, le Théâtre des Martyrs et le Théâtre National Wallonie-Bruxelles. Ensemble, ils plantent un chapiteau sur la place publique pour accueillir, le temps de six représentations, le spectacle de Patrick Masset, Strach – a fear song.
Affronter sa peur, la regarder dans les yeux, la sublimer même. Voilà à quoi nous invite Patrick Masset, accompagné de trois acrobates, une chanteuse lyrique et un pianiste. Son travail sur cette peur primitive, profondément ancrée en chacun de nous est le point de départ d’un rapprochement entre musique et cirque.
Toutes les peurs que nous éprouvons, celle de la perte, de la mort, de l’échec, ou de la vie elle-même, sont auscultées dans une proposition qui joue sur la symbolique et le défi gravitationnel. Les porteurs soutiennent et élèvent la voltigeuse et la chanteuse, tandis que cette dernière reprend notamment Leonard Cohen ou Henry Purcell. Il s’agit bien de littéralement « porter la voix », se faire entendre. À travers ces enchaînements proches de la danse, Patrick Masset cherche l’authenticité du langage du corps, sans l’aide des mots, ni du jeu théâtral. Il en extrait une sincérité qui suscite l’émotion auprès de tous les publics. Une incitation à aborder la vie avec confiance comme un message politique délivré avec exigence et intensité.
Affronter sa peur, la regarder dans les yeux, la sublimer même. Voilà à quoi nous invite Patrick Masset, accompagné de trois acrobates, une chanteuse lyrique et un pianiste. Son travail sur cette peur primitive, profondément ancrée en chacun de nous est le point de départ d’un rapprochement entre musique et cirque.
Toutes les peurs que nous éprouvons, celle de la perte, de la mort, de l’échec, ou de la vie elle-même, sont auscultées dans une proposition qui joue sur la symbolique et le défi gravitationnel. Les porteurs soutiennent et élèvent la voltigeuse et la chanteuse, tandis que cette dernière reprend notamment Leonard Cohen ou Henry Purcell. Il s’agit bien de littéralement « porter la voix », se faire entendre. À travers ces enchaînements proches de la danse, Patrick Masset cherche l’authenticité du langage du corps, sans l’aide des mots, ni du jeu théâtral. Il en extrait une sincérité qui suscite l’émotion auprès de tous les publics. Une incitation à aborder la vie avec confiance comme un message politique délivré avec exigence et intensité.