"Mémoires végétales": Photographies de Alain Ceysens et Jean-François Urbain
12 dec. 2018 - 20 jan. 2019
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Galerie Verhaeren - 7 Rue Gratès 1170
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Jean François Urbain
Un cursus en ingénierie commerciale et en informatique, plusieurs mois d'hospitalisation suite à un accident cardiaque, et de là, la ferme décision de se consacrer à sa passion pour la photographie.
Retour sur les bancs de l'école, dix années de cours du soir à l'Académie de Woluwe-Saint-Lambert pour le côté artistique, à l'Ecole de photographie Agnès Varda pour le côté technique, avec la même soif d'apprendre.
Avec un furieux désir de s'exprimer aux travers ses images. Pour donner à voir, pour exister...
Si le temps n'est qu'illusion, les traces qu'il laisse sont, elles, bien réelles. Comme autant d'inscriptions dans la matière. Une mise en scène de la réalité pour traduire une émotion face à la temporalité des choses. Recherche de formes, de matières, qui me touchent et me parlent. Les scruter, les explorer.
"Réflectance"
Une mise en scène de la réalité face à la temporalité des choses.
"O & autres"
Mise en scène d’un écosystème, de sa biocénose et de son biotope. Des trois éléments le composant: la terre, l’eau et le ciel. Réunis en un espace écologique donné, une nature préservée.
Alain Ceysens
Depuis le début de ses études photographiques à l’institut Saint-Luc de Liège, que se soit en noir et blanc ou en couleur, Alain Ceysens photographie l’écorce du monde et en restitue une image faite de grains et de pixels.
Depuis plus de 50 ans, il a participé à de nombreuses expositions à Bruxelles, en Belgique et à l’étranger. Il a été professeur aux Académies des Beaux-Arts de Tournai et de Woluwé-Saint-Pierre jusqu’en 2009. Ses photos ont également fait l’objet de plusieurs publications.
"Végétaux n/b et Roses"
Dans nos villes la nature tente de prendre de plus en plus de place en envahissant les espaces délaissés, les jardins et autres terrains vagues.
Je recueille les herbes folles, les plantes et les fleurs oubliées. Je les confronte à l’ombre et à la lumière face à l’appareil photographique. Je les laisse envahir le cadre que j’ai arbitrairement choisi et je leur donne une existence nouvelle en les inscrivant sur le papier.
Un cursus en ingénierie commerciale et en informatique, plusieurs mois d'hospitalisation suite à un accident cardiaque, et de là, la ferme décision de se consacrer à sa passion pour la photographie.
Retour sur les bancs de l'école, dix années de cours du soir à l'Académie de Woluwe-Saint-Lambert pour le côté artistique, à l'Ecole de photographie Agnès Varda pour le côté technique, avec la même soif d'apprendre.
Avec un furieux désir de s'exprimer aux travers ses images. Pour donner à voir, pour exister...
Si le temps n'est qu'illusion, les traces qu'il laisse sont, elles, bien réelles. Comme autant d'inscriptions dans la matière. Une mise en scène de la réalité pour traduire une émotion face à la temporalité des choses. Recherche de formes, de matières, qui me touchent et me parlent. Les scruter, les explorer.
"Réflectance"
Une mise en scène de la réalité face à la temporalité des choses.
"O & autres"
Mise en scène d’un écosystème, de sa biocénose et de son biotope. Des trois éléments le composant: la terre, l’eau et le ciel. Réunis en un espace écologique donné, une nature préservée.
Alain Ceysens
Depuis le début de ses études photographiques à l’institut Saint-Luc de Liège, que se soit en noir et blanc ou en couleur, Alain Ceysens photographie l’écorce du monde et en restitue une image faite de grains et de pixels.
Depuis plus de 50 ans, il a participé à de nombreuses expositions à Bruxelles, en Belgique et à l’étranger. Il a été professeur aux Académies des Beaux-Arts de Tournai et de Woluwé-Saint-Pierre jusqu’en 2009. Ses photos ont également fait l’objet de plusieurs publications.
"Végétaux n/b et Roses"
Dans nos villes la nature tente de prendre de plus en plus de place en envahissant les espaces délaissés, les jardins et autres terrains vagues.
Je recueille les herbes folles, les plantes et les fleurs oubliées. Je les confronte à l’ombre et à la lumière face à l’appareil photographique. Je les laisse envahir le cadre que j’ai arbitrairement choisi et je leur donne une existence nouvelle en les inscrivant sur le papier.