"Be lowbrow!" d'Alfred, Michel Fabry (bodding mixed media)
25 mai 2018 - 01 sept. 2018
Après avoir pratiqué ce qu'il qualifiait de "bodding art", Alfred, Michel Fabry a découvert que d'autres partageaient sa pratique sous le nom de "lowbrow", tendance héritée des States des 70s, pop et surréaliste par sa volonté de subversion de la bienséance picturale, mais aussi par son humour. Avec des quartiers de Bruxelles en guest stars.
-
Home Frit' Home - des rue des alliés 242, 1190
«Pour me distraire de tant de nuisance et des miasmes, je m’offre un trip dans les dessins d’Alfred. J’en apprécie la saine insolence, le grinçant jubilatoire.» - André Stas
Actif initialement dans les années 80, après des études artistiques, Alfred, Michel Fabry, «dégoûté par l’état du marché de l’art et le monde nauséeux des galeries» d’alors, entame une carrière de cuisinier pour savourer d’autres couleurs, tout en réalisant de la bande dessinée.
Quand soudain, une fois passé le cap du nouveau siècle, par le biais des urban sketchers lui revient le goût du dessin. Il démarre une nouvelle production artistique qu’il qualifie de «bodding art» (du nom du célèbre dessert bruxellois permettant de recycler restes de pain et de pâtisseries) jusqu’à ce qu’il se rende compte qu’il n’est pas seul dans sa démarche...
«D’autres font aussi ce que je découvre s’appeler "lowbrow art".»
L’art lowbrow, apparu dans la subculture californienne des années 70, se réapproprie les codes issus des médias populaires: comics, publicité, tatouage, street-art et tout ce qui n’est pas considéré comme appartenant au monde des beaux-arts classiques.
Aux USA, le lowbrow est aussi appelé pop-surréalisme par sa volonté de subversion de la bienséance picturale et par sa volonté de bousculer les modes de diffusion et de légitimation établis, mais aussi par son humour.
Jardin ouvert. Entrée gratuite.
Actif initialement dans les années 80, après des études artistiques, Alfred, Michel Fabry, «dégoûté par l’état du marché de l’art et le monde nauséeux des galeries» d’alors, entame une carrière de cuisinier pour savourer d’autres couleurs, tout en réalisant de la bande dessinée.
Quand soudain, une fois passé le cap du nouveau siècle, par le biais des urban sketchers lui revient le goût du dessin. Il démarre une nouvelle production artistique qu’il qualifie de «bodding art» (du nom du célèbre dessert bruxellois permettant de recycler restes de pain et de pâtisseries) jusqu’à ce qu’il se rende compte qu’il n’est pas seul dans sa démarche...
«D’autres font aussi ce que je découvre s’appeler "lowbrow art".»
L’art lowbrow, apparu dans la subculture californienne des années 70, se réapproprie les codes issus des médias populaires: comics, publicité, tatouage, street-art et tout ce qui n’est pas considéré comme appartenant au monde des beaux-arts classiques.
Aux USA, le lowbrow est aussi appelé pop-surréalisme par sa volonté de subversion de la bienséance picturale et par sa volonté de bousculer les modes de diffusion et de légitimation établis, mais aussi par son humour.
Jardin ouvert. Entrée gratuite.