Pianistologie
09 mai 2019 - 09 mai 2019
Simon Fache pourrait bien être le fils de la Framboise Frivole… Comme eux, il revisite des genres musicaux, les œuvres maitresses, avec talent, humour et sagacité !
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Le Palace - Maison Culturelle Ath - 4 Grand'Place 7800
Le complexe est bien connu du monde du show-business : les musiciens rêvent de one-man-show et les comiques regrettent de ne pas savoir jouer d’instrument.
Mais ça, c’était avant. Avant Pianistologie, la réjouissante psychanalyse de Simon Fache où le piano remplace le divan et où le public est invité à écouter aux portes. En gymnastique, on appelle cela le grand écart. Et de la souplesse, Simon Fache n’en manque pas. Comme le prouvent le générique de Mac Gyver et les sonates de Chopin que le musicien virtuose dégaine avec autant de déférence.
Lorsque ce dernier se permet d’ailleurs de confondre Wolfgang Jackson avec Michael Mozart ou encore de créditer Blanche-Neige au générique de Neuf Semaines et demie, ça n’est pas par goût gratuit de la querelle, mais pour la simple et bonne raison qu’il peut se le permettre.
« Il ne suffit pas d’avoir de l’humour pour faire un bon spectacle, encore faut-il avoir du talent, et le talent, Simon Fache en a à revendre. » Le Télégramme
« De toute cette cohue désordonnée de notes et de mots, Simon Fache réussit le tour de force de livrer un récit burlesque, aussi drôle qu’intelligent, empli d’une grande poésie. Le public ne connaissait pas la pianistologie. Maintenant, il l’adore et en redemande ! » Ouest France
Mais ça, c’était avant. Avant Pianistologie, la réjouissante psychanalyse de Simon Fache où le piano remplace le divan et où le public est invité à écouter aux portes. En gymnastique, on appelle cela le grand écart. Et de la souplesse, Simon Fache n’en manque pas. Comme le prouvent le générique de Mac Gyver et les sonates de Chopin que le musicien virtuose dégaine avec autant de déférence.
Lorsque ce dernier se permet d’ailleurs de confondre Wolfgang Jackson avec Michael Mozart ou encore de créditer Blanche-Neige au générique de Neuf Semaines et demie, ça n’est pas par goût gratuit de la querelle, mais pour la simple et bonne raison qu’il peut se le permettre.
« Il ne suffit pas d’avoir de l’humour pour faire un bon spectacle, encore faut-il avoir du talent, et le talent, Simon Fache en a à revendre. » Le Télégramme
« De toute cette cohue désordonnée de notes et de mots, Simon Fache réussit le tour de force de livrer un récit burlesque, aussi drôle qu’intelligent, empli d’une grande poésie. Le public ne connaissait pas la pianistologie. Maintenant, il l’adore et en redemande ! » Ouest France