Paris-Tokyo
07 dec. 2018 - 22 dec. 2018
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Galerie MC2 - 2A Saint-Georges 1050
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Le graphisme qui caractérise son œuvre photographique se traduit par l’importance de l’ombre, dans les deux séries présentées conjointement.
L’ombre projetée sur les monuments les plus emblématiques de Paris dissocie le lieu de son identification visuelle traditionnelle et participe à la simplification de sa représentation.
Le phénomène d’adaptation visuelle de l’œil humain à l’obscurité et au contraste a été un élément déterminant dans le choix des points de vues et la composition.
A Tokyo, les ombres participent au graphisme des couleurs en formant des aplats, des lignes et des points de fuites, autour de l’idée de carrefours, que la ville évoque spontanément. L’ombre, inscrivant le visuel dans son contexte urbain, est employée comme procédé de représentation indirecte de l’environnement situé hors champ.
Les photographies résultent d’une recherche de la beauté dans la simplicité, pour faire écho au concept japonais de « Kanso » : la recherche de la simplicité par l’élimination du superflu, du désordre.
L’exposition aborde la ville de façon abstraite, tel que le consignait Frantisek Kupka dans un manuscrit en 1930 : « Abstraire, c'est éliminer ».
L’ombre projetée sur les monuments les plus emblématiques de Paris dissocie le lieu de son identification visuelle traditionnelle et participe à la simplification de sa représentation.
Le phénomène d’adaptation visuelle de l’œil humain à l’obscurité et au contraste a été un élément déterminant dans le choix des points de vues et la composition.
A Tokyo, les ombres participent au graphisme des couleurs en formant des aplats, des lignes et des points de fuites, autour de l’idée de carrefours, que la ville évoque spontanément. L’ombre, inscrivant le visuel dans son contexte urbain, est employée comme procédé de représentation indirecte de l’environnement situé hors champ.
Les photographies résultent d’une recherche de la beauté dans la simplicité, pour faire écho au concept japonais de « Kanso » : la recherche de la simplicité par l’élimination du superflu, du désordre.
L’exposition aborde la ville de façon abstraite, tel que le consignait Frantisek Kupka dans un manuscrit en 1930 : « Abstraire, c'est éliminer ».