Sarau / tertúlia - Impro avec la nouvelle scène lusophone

Organisé par Leonardo Tonus, le Printemps Littéraire Brésilien s’inscrit dans une perspective pédagogique et a pour objectif de divulguer et de promouvoir la culture brésilienne en Europe. La cinquième édition aura lieu du 14 mars au 10 mai 2018 et à cette occasion, plus de 20 romanciers, illustrateurs, poètes et essayistes sont attendus en Europe et aux États-Unis. Des rencontres, des lectures, des lancements de livres et des ateliers d’écriture seront organisés dans des espaces institutionnels et culturels ainsi que dans des librairies et des institutions d’enseignement supérieur. Il s’agit, d’une part, de favoriser des échanges autour de la langue portugaise et du livre lusophone et, d’autre part, d’assurer le développement de l’enseignement du portugais et de la littérature brésilienne auprès des étudiants européens. Pour plus d’informations, voir le site internet www.printempslitterairebresilien.com.

Rencontre organisée avec l’aide de l’Ambassade du Portugal en Belgique.
La librairie Librebook aura l’immense plaisir de figurer au programme du Printemps Littéraire Brésilien cette année. Vendredi 23 mars, les invités brésiliens viendront rencontrer trois auteurs lusophones issus des quatre coins de l’Europe : Portugal, Italie et Allemagne.
Après une table ronde sur les relations entre la littérature du Vieux Continent et celle du Brésil, Adelaide Ivanova, Roberto Parmeggiani, Susanna Busato, José Paulo Pego et Leonardo Tonus ouvriront les festivités en déclamant leurs créations sur les notes de guitare de Cecilia Peçanha, improvisatrice jazz. Ensuite, ce sera à votre tour de monter sur l’estrade ! Tous vos textes et vos envies d’impro seront bienvenus.
Au Brésil, ces rencontres chaleureuses s’appellent « sarau » et portent en elles des vents de révolution ; au Portugal, les « tertúlia » ont forgé des générations de poètes et philosophes.
Les intervenants s’exprimant en portugais seront traduits en français et/ou en anglais. Le public francophone, anglophone aussi bien que lusophone pourra donc y assister sans en perdre une miette.